Mon panier
Aucun article
Une étude récente de Santé publique France confirme que la pollution de l’air est directement liée à l’augmentation de nombreuses maladies chroniques. Parmi elles, les maladies respiratoires, cardiovasculaires et métaboliques sont particulièrement concernées.
12 à 20 % des maladies respiratoires chez l’enfant et 7 à 13 % chez l’adulte sont causés par la pollution.
7,7 % des cancers du poumon et 15 % des cas d’asthme infantile pourraient être évités en réduisant les niveaux de pollution aux seuils recommandés par l’OMS.
Les maladies inflammatoires chroniques comme la polyarthrite rhumatoïde (PR) peuvent être particulièrement affectées par la pollution de l’air. Plusieurs études suggèrent que l’exposition prolongée aux polluants atmosphériques pourrait non seulement aggraver l’inflammation articulaire, mais aussi augmenter le risque de développer la maladie chez les personnes prédisposées.
Augmentation de l’inflammation : Les particules fines (PM2,5) et le dioxyde d’azote (NO2) stimulent la production de cytokines pro-inflammatoires, amplifiant la réponse immunitaire et aggravant la douleur articulaire.
Aggravation des symptômes : Les patients exposés à des niveaux élevés de pollution signalent une intensification des poussées inflammatoires, une plus grande fatigue et des douleurs accrues.
Altération de la réponse aux traitements : Une exposition fréquente aux polluants pourrait réduire l’efficacité des traitements de fond en augmentant le stress oxydatif dans l’organisme.
Facteur déclenchant : Des études ont établi un lien entre la pollution atmosphérique et le déclenchement de maladies auto-immunes, notamment la PR, chez des individus génétiquement prédisposés.
Les enfants, dont les poumons sont en développement, avec un risque accru d’asthme.
Les personnes âgées et atteintes de maladies chroniques, plus sensibles aux effets inflammatoires.
Les femmes enceintes, exposées à des risques pour leur bébé.
Les sportifs et travailleurs en extérieur, davantage exposés aux polluants.
Privilégiez les espaces verts et évitez les zones de forte circulation, en particulier aux heures de pointe.
Aérez votre logement intelligemment : ouvrez les fenêtres tôt le matin ou tard le soir, lorsque la pollution est moins dense.
Utilisez un purificateur d’air à la maison, surtout si vous vivez en milieu urbain.
Portez un masque filtrant lorsque la qualité de l’air est mauvaise, notamment si vous êtes en extérieur.
Surveillez les alertes pollution via les applications et sites spécialisés pour adapter vos déplacements et activités.
Réduisez votre propre exposition en favorisant les modes de transport doux et en limitant l’utilisation du chauffage au bois.
Ressentez-vous un lien entre pollution et symptômes ? Partagez votre expérience avec nous !
📚 Sources : Santé publique France, Étude sur l’impact de la pollution de l’air, janvier 2025.
Rue Emile Zola
34800 Clermont-L’Hérault
N° Vert : 0800 00 11 59 (Appel gratuit)
 |